Un bien sombre réveille...

Ténèbres... néant bienfaisant... Et puis... Il ouvrit les yeux... Il avait reprit conscience... Il connu un instant de panique... Où était il? Il trouva bien vite la réponse : il était attaché à une table de pierre, dans une pièce sombre... Il essaya de se souvenir de ce qui lui était arriver... Sa bande et lui avait un convois militaire, une proie un peu mieux défendue que d'habitude, mais bien juteuse... Il avait mené l'attaque surprise, fondant depuis une hauteur, de sa manière bien particulière qui lui avait valut le surnom de l' "Aigle des Plaines". Malheureusement, alors qu'ils s'étaient bien engagé dans le combat. Calarenne vit son chef et ses camarades mourir un à un, avant de se retrouver acculer à la paroi rocheuse. Il avait alors vu un éclair bleu, puis tout était devenu noir.

Et maintenant, il était là, dans cette pièce sombre... Il savait que du temps s'était écouler, mais sa mémoire refusait obstinément de lui révéler se qui s'était passé. Il remarqua alors que son regard était plus percent qu'avant. Il pouvait distingué, poser contre un mur, ses armes et ses vêtements. Mais pourquoi l'avait on amené ici? C'était l'une des questions qu'il se posait... Tous ses compagnons, ses amis, étaient mort là bas, dans la plaine... Pourquoi eux et pas lui? Il essaya de voir comment il était habiller, puisque ses affaires étaient posé contre le mur... De se qu'il pouvait discerné, il n'était vêtu que d'un caleçon... Et la pièce où il se trouvait? Quatre murs de béton, nus... Et une porte, qui lui faisait face... Elle était toute entière coulé dans l'acier, sans fenêtre, ni ornement... juste une poignée...

Alors qu'il détaillait son environnement, il entendit des bruits à l'extérieur. De folles pensées le traversaire... Etait on venu le tuer? Ou bien le torturer... Il s'imagina d'imposants gardes aux visages masqués... La porte s'ouvrit alors... Quelqu'un entra, portant d'une lanterne. Etrangement, Calarenne ne fut aveugler qu'un instant... Devant lui se tenait un homme qui mesurait à peu près entre un mettre quatre-vingts et un mettre quatre-vingts cinq. Ses cheveux, d'un noir profond, étaient coupé court, lui arrivant a peine à la nuque. Son visage, très commun pour le reste, se démarquait par ses yeux, d'un bleu nuit très profond. Ses vêtements étaient ceux des Alchimiste d'Etat, la fameuse tenue bleu. Il portait aussi divers bijoux.

HRP/ -autorisation de Medar pour utiliser son personnage

-rp privé, qui introduit mon perso /HRP

Medar marchait dans le couloir à pas précipiter, sans prêter attention aux rares gardes qui le saluait au passage. Il avait la tête ailleurs... Il avait enfin trouver quelqu'un pour son groupe d'élite... enfin peut être... Un scientifique de l'armée l'avait contacté pour le prévenir... Un type compétent, expérimenté, et de qui on pensait qu'il serait prompt à exécuter les ordres... On était sûr de rien, car c'était un prisonnier... Un ancien brigand qui détroussait les voyageurs, si il avait bien comprit... L'Alchimiste de Foudre n'avait que très peu de considération pour ces gens là... Celui ci c'était fait capturer alors qu'il tentait de piller un convoi militaire... Ridicule... La puissance de l'armée était incomparable, indiscutable... L'armée gagnait toujours... C'était bien pour ça qu'il y était entré...

Medar arriva finalement devant une porte, semblable à toutes les autres, et s'arrêta. Devant la porte se trouvait un garde en uniforme, dont les galons indiquaient qu'il avait le grade de sergent. Un homme de petite taille, bruns aux yeux bleu, l'air quelconque, à l'uniforme usé. Medar enregistra ces données, puis les oublia... Les gens qui n'étaient ni gradés, ni remarquable, ni dangereux, il n'y prêtait pas attention... C'était l'un de ses plus grands défauts, qui pourrait lui jouer bien des tours... Il remarqua alors que l'homme portait une lanterne... Logique, il ne devait pas avoir de lumière, à l'intérieur... C'était une bonne chose... Par contre, il portait aussi un pistolet... Ce qui voulait dire que ce n'était pas un Alchimiste d'Etat... Son mépris pour cet homme augmenta encore... Ce fut finalement d'un voie froide qu'il demanda:

"Alors sergent?"

L'homme exécuta un salut militaire.

"Le prisonnier est attacher à une table, Lieutenant-colonel! Il était inconscient la dernière fois que j'ai regardé, mais on m'a dit qu'il pouvait se réveiller à tout moment, monsieur."

"Les clefs?"

"Des clés? Quelles clés, monsieur?"

"Les clés de ses menottes!"

"Il n'a pas de menottes, monsieur, il est attacher par des cordes."

"Bien, donné moi cette lanterne."

L'homme s'exécuta, salua de nouveau et dégagea l'entré. Medar actionna la poigné, entra et referma la porte derrière lui... L'homme était réveillé... Il était vêtu seulement d'un caleçon, avait les cheveux blancs, les yeux rouges et le corps musclé. L'étranger détaillait le Lieutenant-Colonel. Celui ci était un homme de haute taille, mesurant entre un mettre quatre-vingts et un mettre quatre-vingts cinq. Ses cheveux, d'un noir profond, étaient coupé court, lui arrivant a peine à la nuque. Son visage, très commun pour le reste, se démarquait par ses yeux, des yeux d'un bleu nuit très profond, qui semblait attirer le regard. Ses vêtements étaient ceux des Alchimiste d'Etat, la fameuse tenue bleu. Il ne se fondait tout de même pas dans la masse des militaires, ses bijoux, faits de divers métaux, sortant radicalement du style de l'armée. On remarquait dès le premier coup d'oeil la chaîne, forgé dans du bon acier, qui pendait à son coup, orné d'un cercle alchimique classique.

"Alors, on est réveiller? Comment va?"